Daïto-ryu Aïki-jujutsu

Daïto-ryu Aïki-jujutsu, les racines de l’Aïkido.

Daïto-ryu Aïki-jujutsu - AIKIDO ESM

Le daitōryū aikijūjutsu (大東流合気柔術, « École du Grand Orient ») est un art martial d’origine japonaise (budō). Certains retracent l’origine de l’art à Shinra Saburō Minamoto no Yoshimitsu (新羅 三郎 源 義光, 1045-1127) en 1100.


Il existe cependant très peu de documents concernant cette école. Les historiens mettent par conséquent en doute ces affirmations concernant l’origine de la pratique comme ne pouvant pas être prouvée.

Ce qui est certain est que la pratique actuelle prend son origine chez Takeda Sokaku. L’homme qui est donc crédité comme ayant soit créé cette discipline largement de toute pièce. Soit comme ayant rendu publique un hypothétique savoir antérieur.

Daïto-ryu Aïki-jujutsu - TAKEDA Sokaku - AIKIDO ESM

Sōkaku Takeda (武田 惣角, Takeda Sōkaku)

La pratique actuelle du Daïto-ryu Aïki-jujutsu prend son origine chez Takeda Sokaku.

Minamoto-No-Yoshikiyo (décédé en 1163), fils aîné de Shinra Saburō Minamoto no Yoshimitsu, qui réside à Takeda, petite ville située dans la province de Kai. Donne le nom de cette localité à toute sa famille (1ère génération Takeda). Suite aux menaces qui pèsent sur le clan Takeda. En 1574, Ashina Moriuji, chef du clan de Aizu, (région de Aizu, province de Iwashiro au nord-ouest d’Edo), accueille son neveu Takeda Kunitsugu. En remerciement, il enseigne ses connaissances martiales (aiki-in-yo-ho) aux hauts dignitaires du clan.

1643, un daimyo nommé Hoshina Masamori, apparenté au clan Takeda et surtout au shogun Tokugawa, devient le chef du clan Aïzu. Conseiller des Tokugawa, il modifie l’art pour l’adapter au maintien de la sécurité intérieure du palais (sorte de garde rapprochée). Il est aussi disciple du ono-ha-itto-ryu (ken-jutsu).

Transmission

La notoriété s’établie lorsque les gardes personnels du shogun se forment par le clan Aïzu. Puis, Takeda-Takumi-No-Kamisoemon (Takeda Soemon, 1758-1853), également prêtre shinto versé dans plusieurs arts de combat (dont le jujutsu), transmet l’héritage de l’aiki-in-yo-ho à son fils, Takeda Sokichi Tanomo (1829-1905). Le clan Aizu affronte les armées qui veulent restaurer l’empereur (Restauration de Meiji). Vaincu en 1868, le clan est décimé et la plupart des dignitaires survivants se font seppuku.



Saigo Tanomo (1830-1905), grand conseiller du seigneur et également grand prêtre shinto du temple des Tokugawa, enseigne à Sokaku Takeda (Takeda Minamoto No Masayoshi, 1860-1943) le denchu saho, l’étiquette à l’intérieur des châteaux. L’étiquette se nomme oshikiuchi. Takeda Sokaku introduit quelques éléments du oshikiuchi dans le aiki jujutsu, Sōkaku Takeda (武田 惣角, Takeda Sōkaku).

Redoutable ken-jutsuka, il reçoit dans sa jeunesse l’enseignement de Takeda Sokichi), son père, samouraï du clan Aizu, qui a étudié le kenjutsu des écoles Jikishin kage-Ryu (Kajima shinden jikishin kage ryu), l’Ono-ha Itto-Ryu et aussi de l’Hozoin-Ryu (yari-jutsu), le bo-jutsu et le sumo et bien sûr le jujutsudu clan Aïzu.

Pour nommer cet art, Takeda Sokaku emploie le nom daito, qui était celui du château Minamoto Yoshimitsu où naît le aiki jujutsu daito-ryu. Selon Noriaki Inoue, l’ajout du terme aiki dans le nom de l’art viendrait d’une recommandation qu’aurait faite Onisaburo Deguchi à Morihei Ueshiba et qui fut acceptée par Sokaku Takeda.

Sokaku popularise le daito ryu aiki Jujutsu au début du XIXe siècle. Le troisième fils de Sokaku, Tokimune (1916-1993) devient le directeur du daitōryū après la mort de son père. D’un tempérament plus doux et souple, il construit un dojo (le Daïto-kan) et codifie l’art en y ajoutant un grand nombre de modifications notables, en remplaçant les anciens termes techniques par des dénominations plus logiques et explicites, et instaure un système de grades et de diplômes.

C’est aussi sous sa direction que les dan s’instaurent. En plus de la branche principale du ryū sous la famille Takeda, il existe plusieurs autres branches du daitōryū qui maintiennent leur propre hiérarchie et curriculum.



Il y a au total 2 884 techniques. Takeda Sokaku ne nommait pas ses techniques mais les numérotait et c’est son fils Tokimune qui tâcha de les nommer et de les classifier. Traditionnellement, elles se pratiquent dans une forme séquentielle à l’intérieur de chaque niveau qui inclut les techniques où les deux adversaires s’assoient (idori), l’un assit contre un adversaire debout (hanza handachi), les deux adversaires sont debout (tachiai), un adversaire debout se défend contre un adversaire dans son dos (ushiro dori).

Le disciple ne peut pas monter de niveau tant qu’il n’a pas maîtrisé son niveau actuel. À la fin de chaque niveau, il reçoit un certificat qui répertorie toutes les techniques maîtrisées.

Le premier niveau des techniques se nomme shoden waza et porte principalement sur la respiration, le déséquilibre, la distance, l’opportunité, l’attention et l’action sur des points sensibles et des articulations.

La liste des catalogues dans le style classique de Tokimune et le nombre de techniques dans chacun de ceux-ci ensuite.

Le menkyo kaiden est le plus haut niveau dans l’autorisation d’enseigner la technique et l’esprit d’un art martial japonais classique, remise par le maître d’une école, à son ou ses élèves les plus proches et avancés.

Le Takumakai ajoute à cette liste le Daito-ryu Aiki Nito-ryu Hiden (大東流合気二刀流), l’art de manier deux lames.


Il existe cependant une école, le Takumakai (琢磨会), formée par les élèves de Hisa Takuma (久 琢磨) et Nakatsu Heizaburo (中津 平三郎), qui dispose d’un recueil non seulement technique, mais aussi photographique, répertoriant ces techniques supérieures.

Article de Guillaume Erard sur le SODEN.

Daïto-ryu Aïki-jujutsu. Soden : Le manuel technique secret du Daito-ryu Aiki-jujutsu - AIKIDO ESM

Soden : Le manuel technique secret du Daito-ryu Aiki-jujutsu.


Contrairement à ce que l’on pense souvent, le daitōryū aikijūjutsu n’est pas dénué de principes moraux. À haut niveau, les techniques possèdent en effet une composante de compassion. Certains dojos insistent sur le développement de l’individu et l’aspect social de la pratique visant à l’harmonie entre les êtres.

Le Takumakai

Le Takumakai est une école de daito-ryu aiki-jujutsu (la seconde en termes d’effectifs) fondée à Osaka, le 24 août 1975, par des élèves de Takuma Hisa (久 琢磨, 1895-1980) et Nakatsu Heizaburo, qui furent tous deux élèves de Sokaku Takeda. Takuma Hisa est le seul élève de Takeda ayant reçu de ce dernier le menkyo kaiden (diplôme de transmission totale) en daito-ryu aiki-jujutsu, le 26 mars 1939. L’école Takumakai a une place particulière dans l’histoire des arts de l’aïki. Puisque ses cadres originaux (les membres du service de sécurité du journal Asahi d’Osaka) ont tous étudié le daito-ryu aiki-jujutsu sous la direction de Morihei Ueshiba (avant que celui-ci ne fonde l’aikido), puis de Sokaku Takeda.

Aujourd’hui, Mori Hakaru (directeur) dirige l’école, Chiba Mitsutaka (directeur honoraire) remplace Chiba Tsugutaka (décès le 24 octobre 2017) et administrée par Kobayashi Kiyohiro. Chiba Tusgutaka, qui est celui qui a suggéré le nom Takumakai, s’est également entraîné longuement au Daito-kan sous la direction de Takeda Tokimune, le fils de Takeda Sokaku, faisant donc le lien entre les deux lignées majeures du daito-ryu aiki-jujutsu.

De son côté, Kobayashi Kiyohiro (Kyoju Dairi) a lui aussi eu l’occasion d’apprendre sous la direction de Takeda Tokimune à Hokkaido et il s’est également entraîné en aikido au Hombu dojo de l’Aikikai sous la direction de Morihei Ueshiba et Kisshomaru Ueshiba (2ème doshu), ainsi qu’au Yoshinkan sous Gozo Shioda, à une époque où les relations entre aikido et daito-ryu aiki-jujutsu étaient encore fortes. Le Takumakai détient en outre l’un des plus grands recueils photographiques de techniques du daito-ryu, le Soden, qui comporte les techniques apprises sous Morihei Ueshiba et sous Sokaku Takeda.



  • Kōtarō Yoshida (吉田幸太郎, 1883-1966), yanagi-ryu
  • Morihei Ueshiba (植芝 盛平, 1883-1969), aïkido
  • Shogen Okabayashi (岡林 将玄, 1949), hakuho-ryu
  • Ōgami Kenkichi (1936), daito-ryu daibukan
  • Sagawa Yukiyoshi (佐川幸, 1902-1998), sagawa den daito-ryu aiki bujutsu
  • Seigō Okamoto (岡本 正剛,) daito-ryu roppokai
  • Katsumi Yonezawa (米沢 克巳, 1937-1998), daito-ryu bokuyōkan
  • Yamamoto Kakuyoshi, aiki shintojyushinkai
  • Takeda Hitoshi, daïto-ryu aïki budo
  • Takeda Munemitsu (武田宗光, 1924)
  • Kondo Katsuyuki (近藤 勝之, 1945), daito-ryu shimbukan
  • Okuyama Ryuho, hakkō-ryū
  • Shigemitsu Kato, aiki daito kai
  • Choi Yong Sul (1904-1986), hapkido
  • Keido Yamaue (1946), yamaue ryu

  1. Shomenuchi : IPPON DORI – 一本捕
  2. Eridori : GYAKU UDE DORI – 逆腕捕
  3. Eridori : HIJI GAESHI – 肘返
  4. Nanamenuchi : KURUMA DAOSHI – 車倒
  5. Kubijujijime (en tirant) : SHIME GAESHI – 絞返
  6. Kubijujijime (en poussant) : KAKAE JIME – 抱締
  7. Eridori + Shomenuchi : KARAMI NAGE – 搦投
  8. Ryotedori : KOTE GAESHI – 小手返
  9. Ryotedori : NUKITE DORI – 抜手捕
  10. Ryotedori : HIZA JIME – 膝締
  1. Katatedori (tirer) : HANMI NAGE – 半身投
  2. Katatedori (pousser) : URA OTOSHI – 裏落
  3. Ryotedori (pousser) : IZORI – 居反
  4. Kubierijime : KATA OTOSHI – 肩落
  5. Ryotedori (tirer) : IRIMI NAGE – 入身投
  1. Shomenuchi : IPPON DORI – 一本捕
  2. Nanamenuchi : KURUMA DAOSHI – 車倒
  3. Eridori : GYAKU UDE DORI – 逆腕捕
  4. Kubijujijime : KOSHI GURUMA – 腰車
  5. Eridori + shomenuchi : KARAMI NAGE – 搦投
  6. Sodedori (tirer) : URA OTOSHI – 裏落
  7. Kubierijime : OBI OTOSHI – 帯落
  8. Ryosodedori : KIRI GAESHI – 切返
  9. Ryotedori : KOTE GAESHI – 小手返
  10. Ryotedori (pousser / tirer) : SHIHO NAGE (omote / ura) – 四方投
  1. Eridori : TACHI ERI DORI – 立襟捕
  2. Ryokatadori : RYO KATA HINERI – 両肩捻
  3. Ryohijidori : RYO HIJI GAESHI – 両肘返
  4. Koshidakudori : KAKAE JIME DORI – 抱締捕
  5. Katadakudori (erijime) : KATA OTOSHI – 肩落
  1. Shomenuchi : KOTE ZUME – 小手詰
  2. Shomenuchi : GYAKU DASUKI – 逆襷
  3. Nanamenuchi : HIJI KUJIKI – 肘挫
  4. Shomenuchi : KONO HA GAESHI – 木葉返
  5. Katatedori : SHUTO ZUME – 手刀詰
  6. Kubijujijime : KUBI HINERI – 頸捻
  7. Sodedori : KOTE GAESHI – 搦投
  8. Chudantsuki : KATA HA DORI – 片羽捕
  9. Chudantsuki : KAMATE ZUME – 鎌手詰
  10. Munadori : GYAKU GOTE – 逆小手
  1. Katatedori : SHUTO ZUME – 手刀詰
  2. Jodantsuki : KOTE GAESHI – 小手返
  3. Shomenuchi : SUSO DORI – 裾捕
  4. Ushiroeridori : HIJI KUJIKI – 肘挫
  5. Ryotedori : IRIMI ZUME – 入身詰
  1. Shomenuchi : GYAKU DASUKI – 逆襷
  2. Nanamenuchi : HIKI OTOSHI – 引落
  3. Sodedori : KUBI NAGE – 首投
  4. Sodedori : SUSO BARAI – 裾捕
  5. Kubijujijime : SEOI NAGE – 背負投
  6. Katatedori : SHUTO ZUME – 手刀詰
  7. Chudantsuki : KOTE GAESHI – 小手返
  8. Shomenuchi : KATA GURUMA – 肩車
  9. Nanamenuchi : KOSHI GURUMA – 腰車
  10. Kubijujijime : SEIKUJIKI – 聖句時期
  1. Eridori : TSUKI TAOSHI – 突倒
  2. Ryohijidori : SUKUI NAGE – 掬投
  3. Ushiroerijime : GYAKU GOTE – 逆小手
  4. Munedakudori : KUBI NAGE – 首投
  5. Ryosodedori : HIJI KUJIKI – 肘挫
  1. Shomenuchi : TSURI OTOSHI – 釣落
  2. Nanamenuchi : TE MAKURA – 手枕
  3. Munadori : SOTO GOTE – 外小手
  4. Shomenuchi : MAKI ZUME – 巻詰
  5. Tsuki Age : KOBUSHI GAESHI – 拳返
  6. Tsuki : KAKAE KUJIKI – 抱挫
  7. Munadori + Shomenuchi : KARAMI ZUME – 搦詰
  8. Katate Dori : KIRIHA – 切羽
  9. Tsuki : UCHI UDE GAESHI – 内腕返
  10. Katate Ryote Dori : GASSHO DORI – 合掌捕
  1. Katate Dori : MAKI ZUME – 巻詰
  2. Jodan Tsuki : HIJI KUJIKI – 肘挫
  3. Katate Dori Eri Jime : KATAHA GAESHI – 片羽返
  4. Shomenuchi : ASHI JIME – 足締
  5. Jodan Tsuki : WAKI KUJIKI – 脇挫
  1. Shomen Uchi : TSURI OTOSHI – 釣落
  2. Muna Dori : SOTO GOTE – 外小手
  3. Shomen Uchi : MAKI ZUME – 巻詰
  4. Shomen Uchi : WAKI ZUME – 脇詰
  5. Ryote Dori : GANSEKI OTOSHI – 岩石落
  6. Tsuki Jodan : KUBI WA – 首輪
  7. Tsuki Jodan : UCHI UDE GAESHI – 内腕返
  8. Junte Dori : SHICHIRI BIKI – 七里引
  9. Muna Dori : IPPON KATSUGI – 一本担
  10. Nanamenuchi : SHIHO NAGE– 四方投
  1. Ryote Dori : MAKI ZUME OTOSHI – 巻詰落
  2. Ryote Dori : UDE GAESHI – 腕返
  3. Katate Tachi Eri Dori : WAKI GARAMI – 脇搦
  4. Daki Jime : KIRI HA – 切羽
  5. Morote Dori : KATA UDE NAGE – 片腕投

Juugo te – 十五手 – Quinze mouvements

  1. Shomen Uchi : URA GOTE – 裏小手
  2. Nanamenuchi : UCHI GOTE – 内小手
  3. Katate Dori : KAKAE KUBI – 抱首
  4. Nanamenuchi : TE MAKURA ZUME – 手枕詰
  5. Shomen Uchi : WAKI DORI URA – 脇捕裏
  6. Nanamenuchi : WAKI DORI OMOTE – 脇捕表
  7. Katate Dori : IRE CHIGAI – 入違
  8. Ryote Dori : TATSU MAKI – 竜巻
  9. Ryote Dori : IZORI – 居反
  10. Katate Dori : URA OTOSHI – 裏落
  11. Katate Dori : SEN RYU – 潜竜
  12. Katate Dori : WAKI ZUME OTOSHI – 脇詰落
  13. Nanamenuchi : KASUMI NAGE – 霞投
  14. Tsuki : HADAKA JIME – 裸締
  15. Ryo Kata Dori : DARUMA GAESHI – 達磨返

Rokute – 六手 – Six mouvements

  1. Tsuki : MAKI KOMI KUJIKI – 巻込挫
  2. Katate Dori : KOBAN GAESHI – 小判返
  3. Ryote Dori : KAN NUKI ZUME – 閂詰
  4. Tsuki : EN MA – 閻魔
  5. Nanamenuchi : SHUMOKU – 橦木
  6. Katate Dori : TAKI OTOSHI – 滝落
  1. Shomen Uchi : JUTTE DORI – 十手捕
  2. Shomen Uchi : TANKEN (TANTO) DORI – 短剣捕
  3. Shomen Uchi : TACHI DORI – 太刀捕
  4. Katate Dori : KASA DORI – 傘捕
  • Futari / Sannin Dori (sodedori hoka) – 二人三人捕 (techniques contre deux ou trois adversaires)

Toutes les techniques sont exécutées en :

  • IDORI : les deux pratiquants travaillent à genoux.
  • HANZA HANDACHI : tori est à genoux, uke se tient debout.
  • TACHI AI : uke et tori travaillent debout.
  • USHIRO DORI : uke attaque tori par derrière.

Composé de 30 techniques partagées de la manière suivante :

  • 10 en Idori
  • 5 en Hanza handachi
  • 10 en Tachi ai
  • 5 en Ushiro dori

Comme Ikkajo, 30 techniques réparties de la même façon.

Sankajo : idem.

Yonkajo : composé de 15 techniques à exécuter en Tachiai.

Gokajo : composé de 13 techniques, mais il est structuré de façon particulière puisqu’il comprend :

  • 6 techniques de Jujutsu à exécuter en Tachi ai

plus 7 sous-groupes :

  • Tasu dori : techniques de combat contre deux ou plusieurs personnes,
  • Emono dori : techniques pratiquées avec les deux mains occupées, où il faut appliquer les systèmes de défense sans que Tori ne puisse exécuter de saisies sur Uke,
  • Tanken dori : techniques de défense contre les attaques au couteau,
  • Bo dori : techniques de défense contre des attaques au bâton,
  • Jutte dori : techniques de défense et d’attaque à l’aide d’un jutte (arme très utilisée par la police japonaise au moyen âge),
  • Tachi dori : techniques de défense contre un sabre (katana),
  • Kasa dori : techniques de défense contre tout type d’attaque, à exécuter avec une seule main, l’autre tenant une ombrelle ou un parapluie (kasa).

Document en anglais, comprenant 200 pages agrémentées d’une multitude de photos détaillées sur le Daito Ryu Aiki Jujutsu.

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